La Macarine est ressuscitée.
La chapelle de la Macarine dessinée en 1817 par Delacroix, que Louis Goumard avait transformée en métairie pour tenter de mettre ses vignes à l’abri du phylloxera, que jusqu’en 2000 seules les ronces faisaient tenir debout, renait de ses cendres grâce à l’enthousiasme des habitants du canton.
On pensait autrefois qu’elle était reliée à l’abbaye de Saint-Amant de Boixe. Grâce aux recherches, on sait maintenant qu’elle servait d’ermitage à quelques moines qui venaient depuis l’abbaye se ressourcer au milieu de la forêt de la Boixe.
La Macarine est vivante depuis le XIIe siècle et a connu des fortunes diverses au fil des temps. Elle a servi d’ermitage, de foire, de lieu de réunion, de métairie, de cimetière… On connait quelques éléments de l’histoire mais de nombreux secrets demeurent.
Nous vous invitons à découvrir à travers ce site l’histoire de la Macarine que nous connaissons, et nous vous convions à nous contacter si vous avez de nouveaux éléments :